Savez-vous qu’il est plus facile de rendre l’âme que de contredire son destin ? Il est certain que l’on ne peut résister à son destin. On ne peut qu’aller à sa rencontre, quel qu’il soit, peu importe son essence et sa nature. J’avais, je me rappelle, développé une sorte de théorie, pendant mes années d’adolescence, que j’ai appelé « the puppet show », influencé par un roman policier « Ciao Pantin », mais surtout par mes lectures de Camus, Sartre, etc et tous les autres tenants de l’existentialisme…
Bref, on va toujours à la rencontre de son destin, on peut le provoquer temporellement, mais on ne peut l’empêcher. Et la volonté dans tout ça ? Elle n’est pas antinomique avec la destinée de chacun, elle est plutôt le moteur qui permet d’atteindre cette finalité.
Delirium tremens ou hallucination psychotique: je crois fermement que lorsqu’on veut réaliser un dessein on y arrive, car on y est préparé (programmé) initialement par l’univers, reste seulement que l’on mènera cette bataille face à un rival redoutable : le temps.